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17e
Colloque historique
13-15
mai 2009
TOULOUSE
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PROGRAMMES
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Poste
et Télécommunications 1939-1959, vers la modernisation
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Informations
pratiques congressistes
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Programme
des communications
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Lieu
: Salle du Sénéchal, 17 rue Rémuzat
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09
h 00
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Ouverture
du Colloque en présence d'un représentant de la Mairie
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09
h 30
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FRANZ
Harry
Le centre de tri de Strasbourg durant la « drôle
de guerre »
Septembre 1939. Dès la mobilisation, le centre de tri de Strasbourg
est évacué vers une localité située à
une quarantaine de kilomètres, sur la voie de chemin de fer
de Paris, Dettwiller. Le rapport établi par le chef de centre
en 1946 complété de quelques autres sources
permet de suivre, au jour le jour, les péripéties de
cette réorganisation.
Sont ainsi évoquées les conditions du transfert, linstallation
des agents, le service lui-même, lesquestions de transport,
mais aussi les conséquences des rigueurs de lhiver, puis
celles dun redoux brutal.
Le 22 juin larmistice est signé à Rethondes et
le récit sachève sur les conditions de retour
du service vers Strasbourg.
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10
h 00
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BASTIAN
Jean-Claude
Les flammes postales françaises pendant la seconde guerre
mondiale, ironie de l'histoire et propagande
Les flammes postales sont un support publicitaire et un moyen d'information
intéressants. Dans une France en guerre, désorganisée,
occupée puis libérée, elles sont parfois incongrues,
absurdes, des témoins ironiques de l'histoire.
Pendant cette période, elles jouent également un rôle
de propagande non négligeable et certains projets ayant heureusement
avorté, on a même évité le pire.
La communication se propose de montrer quelques exemples de ces deux
aspects de ces véritables documents historiques. |
10
h 30
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PAUSE
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10
h 50
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ALBARET
Laurent (musée de La Poste, Paris)
La création du musée postal. Du timbre-poste de
Fragonard aux premières années du musée (1939-1959)
Le 6 juin 1939, est émis un timbre-poste " pour le Musée
Postal " reprenant le tableau La lettre du peintre Jean-Honoré
Fragonard (1732-1806). Émission souhaitée par les collectionneurs
et par Eugène Vaillé, grand défenseur de l'idée
d'un musée postal en France, ce timbre-poste doit permettre
la constitution d'un fonds afin de doter un musée " postal
" devant être créé dans les années
à venir.
De plus, en raison du déménagement du ministère
des PTT pour l'avenue de Ségur, la nécessité
d'un musée permanent est clairement envisagée. L'entrée
en guerre de la France, la défaite et l'Occupation en décident
autrement.
Le 20 avril 1943, un décret de l'État français
de Vichy prend acte du projet, créant législativement
un musée postal dont le premier conseil de gérance voit
le jour le 17 novembre 1943 sous la direction d'Eugène Vaillé.
Le 30 novembre de la même année, ce dernier est nommé
conservateur du musée postal. Une nouvelle fois, en raison
des événements, le conseil de gérance ne tient
sa deuxième réunion que le 24 novembre 1944, sous la
présidence d'Edmond Quenot, nouveau secrétaire général
des PTT.
Le 4 juin 1946, dans l'enthousiasme de la Libération, le "
Musée postal " est enfin officiellement inauguré
dans les bâtiments de l'hôtel de Choiseul-Praslin, rue
Saint-Romain à Paris. Ancien bâtiment de la Caisse nationale
d'épargne, l'édifice est prestigieux et répond
aux exigences de l'administration et des collectionneurs. Pour l'occasion,
le 25 mai 1946, un second timbre-poste a été émis
le 25 mai 1946, d'après le tableau Le cachet de cire de Jean-Baptiste
Siméon Chardin (1699- 1779).
Les collections postales et philatéliques françaises
ont désormais un écrin officiel. Son premier conservateur,
Eugène Vaillé, en assurera la gestion et les expositions
temporaires jusqu'en 1955.
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11
h 20
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GAUTHERON
Alain (IHS CGT-FAPT)
1945-1959 : productivité, modernisation aux PTT. Des
discours aux actes
Remettre l'activité économique en marche est, après
la seconde guerre mondiale, une évidence qui s'impose. "
Modernisation et reconstruction doivent être poursuivies simultanément
" affirme Jean Monnet.
Moderniser l'économie, améliorer la productivité
deviennent donc des objectifs prioritaires.
Ministères et organismes officiels créés pour
la circonstance s'appuient sur des travaux entamés, depuis
plusieurs décennies, par des patrons, des ingénieurs,
des chercheurs français. S'ajoute, dans le contexte du plan
Marshall, l'attrait que suscite sur les décideurs français
le modèle économique américain et son "
efficacité économique ".
Toutefois, la modernisation à la française n'est ni
une simple rationalisation de la production, ni l'importation clés
en main, d'un modèle étranger. C'est une démarche
plus large, un état d'esprit qui ambitionne de mobiliser, au-delà
des salariés, toute la population. Elle intègre des
dimensions technologiques, économiques et sociales.
Le thème est perçu de manière contradictoire
dans le monde patronal, politique ,syndical. Il provoque des controverses,
voire des affrontements.
À cette époque, les PTT ne sont pas placés parmi
les secteurs prioritaires. Pourtant, les services doivent fonctionner
le plus efficacement possible malgré le manque évident
de moyens. La question de l'amélioration de leur productivité
et de leur modernisation se pose donc.
Comment les PTT sont intégrés à la campagne nationale
pour la productivité et la modernisation ?
Quelles décisions y sont prises ? Quelles en sont les conséquences
?
Pour tenter de le savoir nous analyserons :
- le contenu de conférences, de cours présentés
aux cadres, notamment à l'ENSPTT ;
- des articles parus dans la presse d'entreprise ;
- des exemples de modernisation de services ;
- les raisons de la création en 1952, par le ministre R. Duchet,
du " service des relations
extérieures ".
Nous consulterons la presse nationale PTT de FO et de la CGT afin
de cerner leurs réactions sur ce sujet.
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11
h 50
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FIN
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Jeudi 14 mai - après-midi
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14
h 00
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PERARDEL
Claude
Numérotation téléphonique, le plan de 1955
Tout le monde, enfin presque, se souvient du 25 octobre 1985, où
tout bascule à 23 heures précises.
À partir de cet instant, tous les français possèdent
un numéro de téléphone à huit chiffres.
Nouveau changement le 26 octobre 1996, toujours à la même
heure, date à laquelle le numéro passe à dix
chiffres.
Deux étapes très complexes à mettre en place,
mais simples quant à l'évolution de la numérotation
téléphonique.
Mais avant comment sont numérotés les abonnés
? Rien n'est simple, d'autant plus que, dans les premières
années, les abonnés ne sont pas numérotés.
Pour obtenir un correspondant, il suffit de donner son nom et celui
du centre de rattachement.
Puis le nombre d'abonnés augmentant, il faut leur donner un
numéro pour les identifier et repérer leur équipement
sur le meuble téléphonique.Ensuite, le nombre de chiffres
du numéro va évoluer en fonction du nombre d'abonnés
reliés à un
commutateur. Quelques temps plus tard, il faut assurer la coexistence
entre les abonnés raccordés à un commutateur
manuel et ceux reliés à un autocommutateur.
Les perspectives d' automatisation du réseau téléphonique
entraînent alors la mise en place d'un véritable plan
de numérotation. Initialisé dès 1941, le plan
de 1946 propose des solutions devenues,très vite, obsolètes.
C'est pourquoi le plan de 1955, fondé sur l' utilisation d'
un numéro national à huit chiffres va
permettre de tenir 30 ans et d'introduire celui de 1985.
Après quelques rappels historiques, l'essentiel de ma communication
porte sur ce génial plan de 1955, de sa conception, à
sa mise en place et à son évolution.
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14
h30
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LECOUTURIER
Yves
La création du service automobile des PTT en 1946
Au sortir de la seconde guerre mondiale, le parc automobile des PTT
se trouve dans un état précaire.
670 véhicules ont été perdus ou détruits
par faits de guerre. Environ un millier était en état
de
marche. Que ce soit pour ses véhicules propres - essentiellement
affectés aux télécommunications - ou pour ceux
exploités en régie, l'administration des PTT redéfinit
en 1946 sa politique en matière de véhicules automobiles.
Comme dans beaucoup d'autres domaines, il s'agit de reconstruire ;
dans le cas particulier de l'automobile, les PTT, conscients de l'importance
croissante de ce moyen de transport, construisent un véritable
service automobile.
Elle abandonne la politique de la concession et se lance dans l'acquisition
systématique, la location ne concernant plus que des véhicules
spéciaux. Une direction des bâtiments et des transports
est créée au sein du ministère des PTT. D'emblée,
505 millions de francs sont consacrés à l'achat de 2
400 véhicules et un crédit de 550 millions est décidé
pour l'acquisition en 1947 de 2 100 véhicules.
Cette politique a pour conséquence le développement
d'ateliers et de garages afin d'entretenir et de réparer les
véhicules acquis.
En 1947, le parc automobile des PTT comprend déjà plus
de 3 000 véhicules dont 1 690 voitures légères
et 1 383 camions ou camionnettes.
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15
h 00
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PAUSE
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15
h 20
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LE
PESTIPON Alain
L'extension de l'Hôtel des Postes et des Télégraphes
de Toulouse de 1938 à 1952
- Situation dans les années 1920-1930 : le bâtiment de
1889, abritant tous les services, côté rue de la Poste
(créée pour lui - aujourd'hui rue Kennedy), saturation,
malgré le départ de quelques services au dehors - Donc
extension nécessaire du fait du développement, notamment
du téléphone et son automatisation.
- De 1920 à 1936, discussions avec la mairie pour le choix
d'une solution, soit extension sur place soit transfert ailleurs.
Finalement, accord sur une solution intermédiaire : départ
de la direction dans un bâtiment à construire dans le
quartier Saint-Aubin, sur un terrain cédé par la mairie,
et extension sur place entre la rue de la Poste et la rue Lafayette
pour la recette principale et les centraux télégraphique
et téléphoniques, sur une surface au sol moindre.
- 1937-1938 : projet et expropriations ;
- 1938-1952 : travaux (arrêtés pendant deux ou trois
ans du fait de la guerre) ;
- 1948 : mise en service du nouveau bâtiment rue Lafayette,
notamment de la nouvelle salle du public ;
- 1948-1952 : achèvement des travaux à l'arrière,
" opération-tiroir " de réaménagementextension,
toujours longue.
Les participants au colloque pourront juger du résultat sur
place car c'est à 100 m de la salle du Sénéchal.
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15
h 50
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GERBIER
Guy
SOTELEC. Quelques propos
Pour avoir participé aux travaux de cette Société
Mixte pendant plusieurs années (entre 1969 et 1977) entre autres
comme président des sous-commissions Lignes et Centre, il me
semble naturel de faire part de ces quelques propos.
Dans le cas de monopole, comme était en France, le marché
des matériels de télécommunications est très
particulier : acheteur pratiquement unique ou tout au moins très
majoritaire, études et mises au point longues et coûteuses.
Pour obtenir des prix aussi bas que possible, l'Administration doit
donc s'engager sur plusieur années, donc entraîne une
sorte de monopole pour les fournisseurs choisis initialement.
En indiquant les avantages et les inconvénients d'une telle
société, tel que je les conçois, je ferais part
de quelques anecdotes que j'ai vécues.
Je terminerais par quelques données suer les autres sociétés
mixtes, SOCOTEL et SOMEPOST, auxquelles j'ai participé et je
citerais les filiales des PTT et leur rôle, en particulier SOFRECOM
et les câbles sous-marins.
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16
h 20
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CHARBON
Paul
Machines destinées à la dictée du courrier
L'apparition dans les années 1950 de nouvelles de machines
destinées à la dictée du courrier
entraîna l'administration des PTT à envisager l'emploi
de telles machines par le personnel de
direction.
L'essai des divers types proposés par le marché fut
mené en Alsace dans quatre directions :
Direction régionale des services postaux, Direction régionale
des télécommunications, Direction départementale
du Bas-Rhin et du Haut-Rhin.
Cette expérience permit de déterminer les qualités
demandées à une machine à dicter, les règles
à observer par les dicteurs et les dactylos pour la bonne utilisation
de ce matériel et les conséquences en matière
de productivité, de la mise en service d'une telle organisation.
L'exposé sera illustré par la projection de reproduction
de documents d'époque tirés - en particulier - d'un
montage de diapositives destiné à la sensibilisation
du personnel qui va expérimenter ces nouvelles méthodes
de travail.
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16
h 50
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FIN
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09
h 30
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VAREILLE
Michel IHS CGT
Les associations professionnelles de fonctionnaires des PTT sous
Vichy
Elles furent crées par Pétain le 15 octobre 1940 au
moment de la dissolution des confédérations syndicales.
C'est sur la base idéologique de " la révolution
nationale " qu'elles furent crées, justifiées par
le besoin de " se ressourcer " y compris au niveau syndical
après " l'insupportable " période du front
populaire.
Les grands principes sur lesquels elles doivent reposer sont clairs
:
- l'État français veut un syndicalisme de type corporatiste
ou les patrons et les salariés ne se
combattent plus mais collaborent. Dans les services, l'AP est présidée
par le chef de service ou son représentant.
- elles ne doivent traiter que des questions strictement professionnelles.
- elles doivent se montrer respectueux de l'autorité de l'État.
Si l'accueil dans les ministères est des plus froids, dans
les PTT elles rencontrent un certain écho.
Cela est dû sans doute, à deux facteurs :
1) le ministre du Travail était Belin et son chef de cabinet
Perrot deux anciens responsables de la fédération postale
;
2) la fédération structurée en associations catégorielles
verticales souveraines (ouvriers, sous
agents, agents) les structures d'accueil étaient toutes prêtes.
On peut aussi penser qu'il y a eu un faible " entrisme "
de la part d'anciens syndicalistes chrétien et d'anciens de
la fédération postale
unitaire non fichés, notamment après que Benoît
Frachon en janvier 1942 ait insisté sur la
nécessité de militer dans les syndicats officiels, incitation
qui rencontra toutefois d'énormes
difficultés dans sa mise en application.
Nous développerons dans la contribution leur fonctionnement,
leur relation avec l'administration, l'État, les revendications
qu'elles portaient, les succès obtenus ?
Nous conclurons sur le constat que ces associations qui n'avaient
rien à voir avec la conception du syndicalisme français
furent un cuisant échec pour le régime de vichy et les
syndicalistes qui s'étaient mis à son service. Dès
la fin 1943 et en 1944 comme on le verra une faible minorité
jouera même un rôle positif dans la reconstruction du
syndicalisme.
Cette contribution devra beaucoup à celle de Michel Delugin
au colloque " Le syndicalisme sous Vichy " organisé
par l'université de Paris 8 et l'IHS CGT les 1er et 2 décembre
2005 (voir Le Relais n°29 de mars 2006). Le nom du contributeur
n'est pas encore désigné.
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10
h 00
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SERRA
Armando
Développement des Postes et des Télécommunications
vaticanes : timbres-poste et radio vers la moitié du XXe siècle
Dans le dernier colloque FNARH (Strasbourg 2007), j'ai traité
des premières années des Postes et Télécommunications
vaticanes, qui sont nées en 1929 après la création
de l'État de la Cité du Vatican (au moyen des Accords
de Latran - Concordat et Traité entre le Saint Siège
et le Royaume d'Italie - et plus précisément à
travers ce dernier traité).
C'est mon propos cette fois d'envisager, pour les années à
cheval sur la moitié du XXe siècle, deux branches qui
ont eu un particulier développement, c'est-à-dire les
timbres-poste à l'égard des Postes et la radio quant
aux Télécommunications.
D'un côté, c'est le développement des émissions
des timbres-poste, de même que le recueil des timbres formé
par les échanges du bureau philatélique de la Cité
du Vatican avec l'UPU et par les hommages des papes (la même
dénomination qualificative du bureau préposé
aux émissions vaticanes révèle l'importance désormais
des collectionneurs des timbres). De l'autre côté, c'est
la radio vaticane qui vient en question, dans ses aspects juridiques
(dont par exemple ceux relatifs à la Convention International
des Télécommunications, en vigueur à partir de
1949) et techniques (avec les installations sur place), et dans la
diffusion fondamentalement universelle de ses programmes avec les
versions linguistiques au fur et à mesure plus nombreuses.
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10
h 30
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PAUSE
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10
h 50
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VOLATRON
Jean-Pierre
Les cartes inter-zones. Une famille coupée en deux par la
ligne de démarcation
Le 31 juillet 1940, la ligne de démarcation coupe officiellement
la France en deux. Les Allemands ont établi une zone nord,
occupée, et une zone sud, libre. Toute communication est théoriquement
interdite entre les deux zones, en dehors de ce que les occupants
veulent bien laisser passer.
En fait, dès le 18 juillet, le maréchal von Brauchitsch,
commandant en chef de l'armée allemande avait signifié
au maréchal Pétain la suspension des relations postales
entre les deux zones. Cette interruption n'a été notifiée
par le gouvernement de Vichy que le 30 juillet.
Cette mesure vise, entre autres, toutes les correspondances postales,
et plus particulièrement les relations familiales entre les
membres d'une même famille séparés par cette ligne.
Or, en ces temps très troublés, il était extrêmement
important que les liens familiaux soient maintenus.
Cette situation a été adoucie par la création
des cartes inter-zones, qui permirent l'établissement de relations
familiales réduites à leur plus simple expression, puisqu'elles
étaient limitées à des phrases déjà
inscrites sur l'imprimé, que l'expéditeur pouvait compléter
en remplissant des espaces laissés en blanc.
À partir du cas d'une famille, il est possible de reconstituer
un échange de cartes inter-zones, en montrant les limites de
ce système. C'est aussi l'occasion de retracer l'histoire de
ces cartes, maintenant tombées pratiquement dans l'oubli.
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11
h 20
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ZAGANIACZ
Paulette IHS CGT
Reclassement de la Fonction Publique dans les PTT
Je propose de faire un exposé sur le reclassement de la Fonction
Publique dans les PTT. C'est l'article 33 du statut général
de la Fonction Publique du 5 octobre 1946 qui pose le principe du
classement général des emplois de l'État. L'étude
du reclassement débute en 1946 et aboutit au plan Biondi du
nom du secrétaire d'État à la Fonction Publique,
le 4 décembre 1947. Nous verrons comment le plan Biondi se
décline aux PTT. Le 10 juillet 1948, un décret fixe
les indices de début et de fin des quatre catégories
A, B, C et D avec un éventail de 100 à 800. Le reclassement
ne se fera pas en une seule fois mais en quatre tranches, les 1er
janvier 1948, 1er janvier 1949, 1er janvier 1950 et 25 novembre 1950.
J'étudierai l'évolution du pouvoir d'achat pendant toute
la période du reclassement jusqu'au paiement de la quatrième
et dernière tranche du reclassement à la fin de l'année
1950.
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11
h 50
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FIN
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Programme
des communications (pdf)
Liste des interventions
et des intervenants (pdf)
Résumés
des communications (pdf)
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