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Les
expositions (et manifestations) passées.
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Exposition
2011-2012 ; L'ancien aérodrome de Toulouse-Montaudran, lieu
de connexion entre la poste ferroviaire et la poste aérienne
( 1919 vers 1935 )
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Trains
et avions.
Si le terme “coordination rail / route” est actuellement
connu et employé, l’organisation de 1920 faisait appel
à une étonnante combinaison “train-avion”.
L’aérodrome de Toulouse-Montaudran fut aménagé,
en 1917, pour servir aux avions de guerre construits par l’entreprise
de Pierre- Georges Latécoère.
A partir de 1919, il fut la tête de la ligne aérienne
Toulouse – Maroc créée par le même homme
qui recruta des pilotes et mécaniciens et utilisa des avions
militaires devenus sans emploi depuis la fin de la Grande Guerre. |
Par
la suite, la ligne devait être prolongée jusqu’en
Algérie, en Afrique Occidentale, puis en Amérique du
Sud. La Compagnie des Lignes aériennes Latécoère
devait être intégrée dans la Compagnie Générale
Aéropostale, puis dans la Compagnie Air France (1933).
Le point de départ de la ligne fut conservé à
l’aérodrome de Montaudran jusque vers 1935, puis progressivement
transféré à Paris-Le-Bourget.Le courrier était
transporté entre Paris et Toulouse par chemin de fer, dans
un wagon-poste du service postal ambulant de nuit.De là il
était transporté vers l’Afrique et l’Amérique
du Sud par un avion de l’Aéropostale.
L’aérodrome de Toulouse-Montaudran fut donc, de 1919 à
environ 1935, le lieu de connexion entre la poste ferroviaire et la
poste aérienne. ...
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La suite de
l'histoire : 
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Exposition
2009-2010 : L'Histoire des Postes, puis des Télégraphes
et des Téléphones à Toulouse - des gallo-romains
à 1990.
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Plaque de postillon |
TOULOUSE, depuis qu'elle existe,
a toujours été raccordée aux réseaux
"postaux" successifs :
- pour l'acheminement du courrier (la poste aux lettres)
- pour le transport des voyageurs, des messageries et du courrier
(la poste aux chevaux, puis aux chemins de fer, véhicules routiers
et avions)
- puis aux réseaux de communications plus rapides voire instantanées
: les télégraphes et les téléphones, puis
la radiodiffusion, gérés par les postes à leurs
débuts
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Des
formes élémentaires de postes ont existé dès
la plus haute antiquité, pour permettre les échanges
de productions et de connaissances, mais on n'en dispose de traces
précises que depuis l'époque gallo-romaine.
A partir de là, on peut diviser l'histoire, à Toulouse
comme au niveau national, en une dizaine de chapitres, exoliquée
dans le cadre de l'exposition et par le livret d'accompagnement.
Téléchargement du livret en cliquant sur l'image)
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L'inauguration
de l'exposition |
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13
au 15 mai 2009 : 17e Colloque international de la FNARH
Postes et télécommunications 1939-1959, vers la
modernisation
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Les congressistes
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Le discours du
Président Padilla |
Colloque : page spéciale
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Exposition
2008 ; L'utilisation
des cycles aux PTT des années 1870 à nos jours.
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Les cycles
On entend
ici, par "cycle", toute machine à roues, siège
et direction permettant à un homme de se déplacer par
la force des jambes, plus vite qu'à pied ; aux débuts,
on parle de "vélocipède" (le "vélo"),
du latin : "veloce" = rapide et "pedes" = pieds,
puis de bicyclette (à 2 roues), ou tricycle voire triporteur
(à 3 roues). Toutefois, des machines particulières sont
également utilisées. |
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Du
vélocipède à la bicyclette (ou au triporteur)
Des machines à deux roues existent depuis longtemps, mais
les premiers véritables vélocipèdes ne sont
apparus que dans la première moitié du XIXème
siècle.
En 1818 le baron Drais invente une "machine à courir"
propulsée par appuis des pieds sur le sol, la draisienne.
En 1861 / 1868, les frères Michaux mettent au point la pédale
fixée sur la roue avant.
En 1868, l'invention de la transmission par chaîne entre un
pédalier et la roue arrière créé la
première véritable bicyclette.
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Pousette vers 1930 |
Les
améliorations se succèdent ensuite à un rythme
rapide : l'invention des bandages caoutchouc pleins, puis des pneumatiques
en 1888, enfin celle du cadre et axe de direction vers 1900.
D'autres améliorations enfin permettent de disposer alors
de bicyclettes pratiques ou sportives.
Vers 1930,
l'adjonction d'un moteur donna naissance aux vélomoteurs
et cyclomoteurs.
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L'utilisation
des cycles aux PTT.
Diverses utilisations des cycles ont été faites par
l'administration des PTT, surtout pour les services postaux, mais
aussi pour les télégraphes et les téléphones.
Elles sont évoquées dans les panneaux de l'exposition
: la distribution des lettres, la distribution des paquets ou le
relevage du courrier par triporteurs et "poussettes",
la distribution télégraphique (pour télégrammes,
avis d'appels téléphoniques, objets par "exprès",
"pneumatiques") sans oublier les acheminements exceptionnels.
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Télégraphiste
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Bicyclettes
électriques |
L'exposition
fait également une place à l'utilisation des cycles
pour l'entretien des lignes télégraphiques et téléphoniques
aériennes, et des postes d'abonnés en zone rurale,
à la poste militaire et les cycles et aux exemples dans les
pays étrangers.
L'utilisation généralisée des automobiles à
partir des années 1950 a remplacé progressivement
celle des cycles, sauf pour la distribution des lettres dans la
périphérie des villes à faible densité
d'habitat et on voit ainsi apparaître des " engins "
très modernes, électriques en particulier.
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Toute l'histoire des
deux roues et de ses relations avec les PTT est racontée dans les
wagons-poste à l'aide d'objets et de documents ainsi que dans le
catalogue de l'exposition qu'on peut télécharger au format
.pdf (Acrobat Reader) en cliquant sur
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Exposition
2007 : La poste pendant le siège de Paris ( septembre 1870
- janvier 1871 )
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Une extraordinaire
aventure
Août
1870. La guerre est déclarée entre l'Allemagne et la
France. Les Prussiens envahissent l'est du pays et se retrouvent bientôt
aux portes de Paris. Le 18 septembre, la capitale est entièrement
assiégée. Il devient alors impossible de sortir ou de
rentrer dans Paris. |
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Pour
sortir...
Des hommes,
dignes successeurs des frères Montgolfier, mettent en place
un étonnant pont aérien de ballons montés.
Gonflés au gaz de ville, transportant le courrier officiel,
mais aussi celui des particuliers, des pigeons voyageurs, des proclamations,
des journaux, les ballons s'envolent sous la responsabilité
d'un aéronaute, appelé parfois " pilote ".
Ils seront 65 à franchir le blocus. Deux ne le pourront pas.
La plus grande aventure de l'histoire aérienne civile et militaire
commence le 23 septembre 1870 et va durer 4 mois et 4 jours. La première
poste aérienne est née. |
Pour
entrer...
Pendant ce temps, on réfléchit aux moyens de faire rentrer
le courrier dans Paris. Certains inventent un système particulier,
en faisant rouler au fond de la Seine des boules de zinc munies d'ailettes
et emplies de lettres provenant de la province.
Plus astucieuse est l'idée d'employer des pigeons voyageurs,
qui sortis de Paris par ballons, doivent, grâce à leur
instinct, rentrer dans leur pigeonnier. On les charge de transporter
des microphotographies de textes, qui, à l'arrivée,
et après agrandissement, sont recopiés, puis distribués.
D'autres
"astuces" seront envisagées, sans grands résultats… |
Boule de Moulins (MPoste)
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La
suite est racontée dans les wagons-poste à l'aide d'objets
et de documents ainsi que dans
le catalogue de l'exposition qu'on peut télécharger
au format .pdf (Acrobat Reader)
en cliquant sur |
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Exposition
2006 : La poste aux chevaux
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 Le
musée Postal des Anciens Ambulants de Toulouse retrace la
vie de ces hommes qui la nuit, sur le réseau ferré de France, triaient
le courrier. Le musée perpétue le souvenir de ces bureaux mobiles
qui pendant près de 150
ans ont sillonné les voies de chemin de fer régionales et nationales.
Aujourd'hui, et ce pour une année, une nouvelle exposition vient
se loger dans le wagon : "La poste aux chevaux". Après "Madame de
Sévigné", "l'aéropostale" ou encore "la poste maritime", la nouvelle
exposition est un grand bond en arrière. Rentrer dans le
wagon de 1974 transportera le visiteur dans un autre temps, celui
du XIe siècle. Nostalgie pour les uns, découverte et tradition pour
les autres, le wagon du souvenir promet de plaire à tous. 
"On ne doit jamais tourner le dos au passé, déclare Monsieur le
Maire de la ville rose, les Toulousains doivent connaître leurs
racines". Affiches, photos, cartes et objets prêtés par le musée
des transports de Toulouse et celui de la Poste de Paris : cette
exposition coordonnée par le président de l'association Michel Padilla
et l'historien Alain Le Pestipon regorge de merveilles...
Visites le mardi de 14 heures à
17 heures et sur rendez-vous pour les groupes les autres jours :
05 61 13 44 46
E.B.-V. , La Dépêche du Midi, 17 avril 2006
Le catalogue de l'exposition, édité
grâce à La Poste, est toujours disponible au format
PDF (Acrobat Reader) en cliquant sur
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Exposition
2005 : Mission Latécoère en Amérique du Sud
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Au
moment où l'A380 d'Airbus sort de son hangar, le Musée
des Ambulants a voulu commémorer un épisode très
particulier de l'aventure aéronautique française.
C'était il y a 80 ans, le 14 Janvier 1925 : une mission aérienne
française, composée de 3 avions Bréguet 14,
s'envolait de RIO DE JANEIRO pour BUENOS-AIRES…
Cette exposition présente des photographies prises sur place
de Janvier à Mars 1925, et certains documents rares, qui
retracent quelques aspects de la vie des premiers aventuriers qui
réussirent dans la tâche périlleuse imposée
par P. G. Latécoère.
Au delà des légendes, des polémiques et des
erreurs, - voire des mensonges -
cette exposition veut rendre un hommage particulier à ceux
qui furent les véritables pionniers - pionniers des pionniers
? - d'une entreprise, à première vue, irréalisable,
ceux que l'on appelle les "hommes de l'ombre et de l'oubli".
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Exposition 2004 : L'histoire de la poste maritime.
Plusieurs
panneaux très illustrés ont occupé tout un ancien wagon-poste
(PE de 21 mètres) et traité successivement :
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1-
Du transport du courrier sur les bateaux à voile, des origines aux
premières années du XIXe siècle (notamment de la " purification
" des lettres en cas d'épidémies)
2- Puis sur bateaux à vapeur avec roues à aubes dans les deux premiers
tiers du XIXe siècle (notamment de l'essai de l'exploitation en
régie directe par l'Administration de " bateaux-poste " en Méditerranée,
entre 1837 et 1851, service et bateaux ensuite cédés à des compagnies
privées)
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3- Enfin sur les
grands paquebots à vapeur ou diesel avec propulsion par hélices, des
années 1850 aux années 1960 (avec chevauchement d'une trentaine d'années
entre ces diverses périodes, le temps de remplacer les anciens bateaux
par les nouveaux)
4- Du rôle des " postiers embarqués ", une variété d'ambulants, chargés
de convoyer et de trier le courrier pendant les traversées et aussi,
sur les plus grands paquebots, de tenir un bureau de poste dit " flottant
" au service des passagers et de l'équipage. |
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5- De divers systèmes
de coordination entre poste maritime et transports terrestres (par
exemple la " Malle des Indes ")
6- Et entre la poste maritime et les transports aériens (qui devaient
ensuite la remplacer)
7- De la " poste navale " militaire |
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8- Du courrier
postal des navires restant longtemps en mer sans toucher terre (pêche
hauturière, câbliers, super-pétroliers, etc…)
9- De la desserte des iles côtières, super-pétroliers, etc…
10 - Enfin, un clin d'œil : de la poste des " marins d'eau douce "
sur les grands lacs, fleuves et canaux |
Le
tri postal naval : bien des similitudes avec le tri postal ambulant terrestre
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